Poussière de fées sur mes paupières

Cette petite fille qui voulait des chaussures roses et une robe de princesse, c’était Cerise.
Cette petit fille qui parlait à ses Barbie et passait des heures à les habiller, c’était Cerise.

J’ai toujours voulu croire aux fées. J’aime les paillettes et j’aime quand ça brille.
Une chose a beaucoup plus de propension à me plaire si elle est très féminine.

Je peux littéralement sauter de joie pour une nouvelle palette ou une nouvelle collection originale de vernis.

C’est pourquoi, lorsque j’ai découvert une nouvelle boutique sur Etsy, je n’ai pu résister à la tentation suprême de commander quelque chose.

Impulse Cosmetics.

C’est un des nombreux corners sur l’énorme e-boutique qu’est Etsy.
J’ai craqué pour deux fards mais j’aurai voulu en prendre beaucoup plus. Mais ne connaissant pas la marque je ne voulais d’abord les essayer avant de craquer totalement.

Ces deux fards, ainsi que toute leur collection, semble être créer dans de la poussière de fée.

Leurs nuances de couleurs est telle qu’elle semble impossible à prendre en photo.

Le premier, Esméralda, est à mi-chemin entre le rose et le gold.

Il varie sur ces nuances en fonction de la lumière et de la quantité sur la paupière.

Le second, Poséidon, lui est un entre deux entre le bleu et le violet.

Je n’ai pas de préférence entre les deux même si je sais que je ne les utiliserai pas de la même manière.

Tantôt en touches de couleurs, tantôt en aplat de couleurs.

Ce sont des fards en poudre libre, ils sont donc assez durs à appliquer sans en faire tomber. De même pour les travailler, c’est assez compliqué et j’ai dû m’y reprendre à deux fois.
Je vous conseille d’aller jeter un coup d’œil sur cette boutique dont les couleurs semblent être le maître mot.

Chacun d’eux ne coûte que 3.02€ ! C’est l’occasion de se faire plaisir sans modération !

Je suis conquise par mes deux fards qui me rappellent la féerie de mes rêves d’enfant.

• Impulse Cosmetics sur Etsy.com
• Ce que j’écoute en vous écrivant : The Cloud Atlas Sextet for Orchestra – Tom Tykwer